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Photoshop Cs5 sur W&mP

J’ai commencé dans la rubrique Photoshop à mettre à jour avec la partie Cs5. Comme c’est super long, je vous ai juste un début pour ne tout vous donner dans 1 mois. Comme d’habitude, je ne vous ponds pas un article en 1 journée en survolant les nouveautés, mais je fais des tests.

J’avais déjà vu le logiciel, dans le cadre de réunion, mais comme on signe des papiers, on n’a pas le droit de dire ce qu’on a vu, sinon on se fait assassiner, couper en morceaux et on mets ça sur le dos de talibans. De plus, cela tournait seulement autour des nouvelles brosses de Cs5 qui jouent la carte des real media et qui permettent de peindre ou de transformer une photo en toile picturale…

En regardant de plus prêt, c’est toute l’interface qui a été optimisée pour la peinture, même si vous n’êtes pas en espace de travail Peinture. Mais cela touche d’autres outils de retouche.

Par exemple, l’Outil Correcteur de ton direct qui était bof sur Cs4 reçoit également la fonction Content-Aware qui permet de reconstituer une image. Sur les démos video, vous avez droit à la version Remplir, mais celle-ci existe aussi avec cet outil de retouche dont la gestion du tracé peut être gérée par le stylet. Après avoir fait plein de tests avec la version Fill et la version du Spot Healing Tool, l’effet est efficace si vous avez une grande surface identique autour de la zone à changer. Si vous êtes dans une zone où les figures adjacentes sont totalement différentes, il faut que la sélection soit parfaite sur l’objet à reconstituer ou à faire disparaître pour que cela fonctionne correctement. En résumé, dans une photo urbaine avec de pleins de formes différentes proches  (humain, fenêtre, poteaux, etc..), vous devait faire une sélection parfaite. Soit vous galérez avec l’outil sélection avant d’appliquer le Remplir (en peignant avec un quick mask, ça devrait le faire), soit vous utilisez l’outil Correcteur de ton direct… Et là, vous pouvez jeter votre souris à la poubelle car cela fonctionne seulement efficacement si vous peignez correctement la zone pour la sélectionner. Seul le stylet avec la gestion de la pression est efficace, sinon le résultat est à chier avec un gros trait de recouvrement fait à la mouse.

Je me disais bien qu’il y avait anguille sous roche avec le Content-Aware Fill.

À noter aussi que le nouveau Color Picker pompé sur Painter n’est pas très pratique dans son utilisation et il faut absolument caler le raccourci-clavier sur un expresskey pour l’activer avec un minimum de confort :  Ctrl+Pomme+Alt+Clic+Espace! Soit vous avez une tablette et un stylet, soit vous avez les doigts de Jimmi Hendricks pour le clavier, afin de l’utiliser. Mais de toutes façon, ce Color Picker, c’est juste un coup pied sous la table pour les infographistes qui utilisent le soft de Corel et qui ont forcément une tablette…

Pour conclure, j’ai juste un début et j’avanxcerai peu à peu lors de temps libre… Après je passerai à Illustrator…

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