Jobs, le film par le Ninja Capseur

Je vous explique tout. Le petit Prince est puni pendant 2 semaines, mais il devait aller voir le film Jobs et faire un résumé du film pour le blog. Mais Rhonda a décidé que c’est moi qui irai voir le film au cinéma.

Au début, j’avais pas compris. Rhonda est venue vers moi et m’a dit :  » Tu veux voir le film Jobs« . J’ai répondu : « Bah non, je vois que des films biens de SF, de fantastique et d’horreur, pas des films sur des chômeurs américains ». Elle m’a dit: « Non, c’est le film sur Steve Jobs. C’est un biopic. » Alors, là, j’ai pas compris non plus, car je connais Bioman, mais pas Biopix. Elle m’a expliqué avec ses mots à elle, que c’est un film qui raconte la vie de quelqu’un. Enfin bon, c’est un mot bien compliqué pour un truc très simple. J’ai compris maintenant. Un film qui raconte la vie d’un humain, c’est un biopic. Si ça raconte la vie d’un animal, c’est autre chose. Babe, ça raconte la vie d’un cochon, c’est un porc-épic. Donc elle m’ a donné de l’argent, parce que moi, j’aurai jamais payé pour ça. Je vais au cinéma. Et je vois qu’il y avait Elysium dans une autre salle. Bah finalement, je suis allé le film de SF, Elysium, et pas le film Jobs. Après je suis rentré. Rhonda m’a demandé : « T’as vu le film ? ». J’ai menti. J’ai dit Oui. Elle m’a demandé de faire un résumé écrit pour ce soir. Alors j’ai paniqué car je connais rien à Jobs. Même si ce mec est super fort, car 1 an et demi après sa mort, il y a un film sur lui. Un mec, comme Napoléon, a du attendre 1 siècle et demi pour avoir aussi un film sur sa vie et Napoléon, c’était quand même un bon big boss de fin de tableau.

Revenons à moi, je suis allé voir tout de suite Vince, car lui, il a connu Steve jobs. Au XXème siècle à Apple expo, d’après ce qu’il dit. Finalement il m’a rassuré. Il m’a dit que tous les films américains se  ressemblaient et que je pouvais écrire n’importe quoi. Il a tout à fait raison. Je peux même ajouter que si tu vois la bande annonce, t’as vu tout le film. Je suis allé voir World War Z, tu vois le trailer, tout est dedans. T’as tout compris. C’est un résumé du film mélangé comme un puzzle.

Je me suis dit : J’ai vu Elysium, j’ai  vu la bande annonce de Jobs, tous les films se ressemblent et la bande annonce, c’est déjà un résumé du film. Donc je peux faire un résumé et une critique de ce biopic.

Mon résumé : Steve Jobs vit sur Terre et le monde est divisé en 2. Il y en a qui vivent dans des garages, qui portent des T-shirt tout pourris et qui vont pas chez le coiffeur, et d’autres qui vivent dans de gros buildings, qui portent des super vestes et des cravates et qui ont des super coupes de cheveux.

Jobs appartient à la première catégorie. Il est toujours debout et il parcourt le monde et il est vachement écolo. Les autres, dans les gros buildings, sont toujours assis dans le même bureau et ils ne bougent pas.

Jobs est pas tout seul. Il a des potes comme lui et un copain, Woz, lui donne le virus de l’ordinateur. Et là, Jobs veut fabriquer le premier ordinateur écolo. Tout en bois. Jobs est à fond dedans. Aussi Jobs, c’est un peu comme dans World War Z, c’est le seul beau mec du coin, donc il se tape toutes les nanas. Ces copains ont tous des tronches pas possibles, donc ils bossent tous. Ils n’ont pas de vie… Heuuu… Vous voyez ce que je veux dire. Dans World War Z, le seul beau mec, c’était Brad Pitt. À part lui, tout le monde était moche, même ceux qui n’étaient pas des zombies.

Mais revenons, à Jobs et les femmes, le problème, c’est qu’elles ne pensent pas comme lui, car lui, c’est un vrai geek. Les femmes à l’époque dans les années 70, ce sont pas des geeks. Elles s’ennuient. Il n’y a pas Nintendog, les Sim’s ou les blogs de cuisine. D’ailleurs, il n’y a pas internet. Donc elles sont bizarres et elles ont des problèmes du type « tu agresses ma bulle de protection ».

Finalement, les mecs d’en haut, trouvent son idée de l’ordi écolo super bien et l’invitent à les rejoindre dans leurs grands buildings. Et là, Jobs crée sa société, Apple, qui a tout de suite beaucoup de succès. Maintenant, Jobs va chez le coiffeur et a de beaux habits avec de belles cravates. Par contre Jobs est devenu super méchant avec ses employés. Là, c’est pas très clair, donc j’ai demandé à Vince, qui m’ a dit « Jobs était exigeant avec ses employés car il était encore plus exigeant avec lui-même ». Des fois, Vince, il sort des trucs comme ça. C’est trop fort. Cela lui vient comme ça. C’est dingue. En plus, il te le dit alors qu’il est en train de jouer à Quake3. Il est très Vintage en jeu. Il ne joue qu’en niveau Nightmare.  Vince, c’est le seul mec que je connais, qui a gagné toutes les arènes à la suite en mode Nightmare sans perdre une seule fois. En 37 minutes, montre en main.

Mais revenons au film. Jobs veut que sa boîte soit encore meilleur, donc il embauche un mec super fort avec une super cravate. Et ce nouveau type le vire. Jobs devient sans emploi. C’est quand même drôle de s’appeler Jobs et de ne plus avoir de job. Car Apple, entre temps, c’est devenu communiste. L’ouvrier peut licencier le patron. Mais les communistes savent pas faire du business, donc Apple va presque couler comme le Titanic (un titanic, c’est un film qui raconte la vie d’un bateau), donc il rappelle Jobs. Jobs retrouve son job. Et là, il a une super idée : il va faire des ordinateurs colorés et jolis. Avant lui, les ordis, c’était rectangulaire, noir, gris et blanc. Trop moche… Ok, maintenant, Apple, c’est noir, gris et blanc et ça se dit branché. Mais à l’époque, fin XXème siècle, c’est ringard, noir, blanc et gris. Il faut contextualiser. « Si tu contextualises pas, tu ne comprends pas ». C’est une phrase de Rhonda. Elle le dit tout le temps. Et là, le succès revient chez Apple. Comme quoi, c’est lui qui fait tourner la baraque. Et ça finit qu’il présente un nouvel objet après l’ordi, l’iPod, le baladeur numérique. C’est normal, l’iPod, c’est l’objet qui lui ressemble le plus. Jobs aime la musique et a aimé voyager. En fait, l’iPod, c’est lui. Ça correspond à ce qu’il est, c’est pour ça qu’il y a le reflet de son visage dessus. Là, pour la conclusion, j’ai suivi les notes de Vince.

Ma critique : l’acteur est vraiment bien. Il est beau. Il s’appelle Ashton Kutcher. Il n’a pas hésité à s’imprégner du personnage et ressentir les années 70. D’ailleurs, il sort avec Demi Moore, la preuve. Je trouve que ça manquait de trucages. Vivant en Californie, c’est étonnant qu’il n’y ait pas eu une scène de tremblement de terre. Là, on en aurait eu pour notre pognon. On aurait eu plein d’effets spéciaux. Il y a un peu de scènes d’amour, et pas de présence de sex shops. ‘Comprend pas pourquoi Xavier Niel a apprécié le film… Par contre, il manque plein de trucs importants comme l’arrivée de l’iPhone. Ça parle d’Apple, mais pas d’iPhone, ça parle de quoi, alors? Au final, c’est un film assez frustrant. Je vous conseille d’aller voir plutôt Elysium, car il y a beaucoup de FX. Donc ils ont utilisé plus d’ordis, de logiciels infographiques et de tablettes graphiques pour sa réalisation.

[maj] : Finalement, j’ai vu le film Jobs!!! Je l’ai vu… Sur mon ordi. ‘Sais pas comment il est arrivé là. J’ai cliqué sur un bouton sur internet et hop, il s’est retrouvé par magie sur mon DD. Mais c’est pas moi… Et bah, finalement, c’est une belle arnaque, ce film, car ça ressemble pas du tout à Elysium! Même, ça n’a strictement rien à voir! Ne vous fiez pas, en plus, à la bande annonce. Je comprends pas.